Deux concerts de blues pour la même soirée, deux approches bien différentes.
Judith Hill pour commencer. Voix vertigineuse, parfois à la Aretha Franklin, technique parfaite, un jeu de guitare incandescent. Singularités, maman est aux claviers, papa est à la basse … Une performance au niveau attendu que bonifierait une attitude un peu plus chaleureuse pour le public.
En seconde partie, Coco Montoya et « ses potes » autour des 70 ans, un quartet qu’on imagine bien découvrir dans un club. Pas de fioriture, tout pour la musique, chansons attachantes, jeu de guitare bien rôdé et des interprétations toujours chaleureuses.
« Never give-up » clame la plus jeune, « Be good to you » propose l’autre… On prend les deux !
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